Le kinésithérapeute reste sur le seuil douloureux ?
"Je n'entre pas, à l'école on m'a appris à respecter le seuil douloureux. Dès que le patient crie je m'arrête! La loi m'interdit de faire mal"
Ou bien le kiné essaye de voir si ce seuil émouvant ne serait pas aussi mouvant?
- par Contrôle respiratoire
- par détente musculaire
- par habituation des récepteurs
- Par amélioration progressive de la prise en charge musculaire
- par adaptation progressive du tissus conjonctif
On met au point avec le patient un système de douleur consentie:
1. on augmente l'amplitude
2. on arrête d’augmenter l'amplitude mais on tient la posture!
3. on arrête la posture
- par habituation des récepteurs
- Par amélioration progressive de la prise en charge musculaire
- par adaptation progressive du tissus conjonctif
On met au point avec le patient un système de douleur consentie:
1. on augmente l'amplitude
2. on arrête d’augmenter l'amplitude mais on tient la posture!
3. on arrête la posture
§
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Ne s’autorise pas à essayer de repousser le seuil douloureux puisqu'il sait que la rétraction commencée va continuer et va entrainer un jour une intervention chirurgicale?
§Qu’est qui fait que le même kinésithérapeute
s’autorisera alors à provoquer des douleurs plus intenses
au cours de séances plus longues après l'opération lors du déplâtrage?
§- C'est la prescription médicale qui dédouane le kinésithérapeute et qui fait voler en éclat sa "retenue" précédente face à la douleur d'étirement conjonctif. (Expérience de Milgram exposée dans "I comme Icare) http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
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